
la colère des parents
La colère et la frustration sont des émotions humaines universelles, mais cela ne veut pas dire que vous devez être victime de sentiments négatifs. En tant qu’adultes, nous avons l’obligation envers notre famille et nous-mêmes d’éviter de laisser nos émotions prendre le meilleur de nous-mêmes.
Regardons les choses en face. C’est dur d’être parent ! Lorsque vous voulez simplement pisser seul ou prendre une douche pendant plus de deux minutes sans entendre de petits pas à l’extérieur du rideau, cela peut être incroyablement frustrant. Ou, lorsque vous avez dit à votre enfant pour la millionième fois d’éteindre la lumière lorsqu’il quitte une pièce, cela peut vous donner envie de vous arracher les cheveux.
De nombreux parents expriment leur colère et leur frustration en criant après leurs enfants.
Ce n’est pas parce qu’ils le veulent nécessairement, mais parce que parfois ils sont tellement débordés qu’ils perdent le contrôle. D’autres fois, il peut être plus facile de brailler que d’apprendre des stratégies pour devenir un parent plus calme.
Des études montrent que le fait de crier rend les enfants plus agressifs, physiquement et verbalement. En tant que parent, le fait d’élever la voix au point de crier effraie les enfants et les rend peu sûrs d’eux. Il a été démontré qu’il cause des effets à long terme, comme l’anxiété, une faible estime de soi et une agressivité accrue. Un parent calme est rassurant, ce qui fait que les enfants se sentent aimés et acceptés malgré un mauvais comportement.
En tant que parent, il y a beaucoup de réponses que vous pouvez choisir lorsque vous êtes confronté à une situation qui fait bouillir votre sang. Trouver la paix est possible ! Apprenez à gérer votre colère et à trouver une solution pacifique à l’aide de ces stratégies :
les stratégies des parents
1. Considérez les conséquences négatives de l’expression de la colère. Il est tentant de courir avec votre exaspération à court terme, mais céder à la rage peut causer encore plus de défis. Avant de s’en prendre à vos enfants ou de prendre ce que vous considérez comme des mesures appropriées, réfléchissez à la façon dont les choses se passeront lorsque la fumée se dissipera.
2. Donnez-vous un temps mort. Les temps morts ne sont pas seulement pour les jeunes enfants. Les adultes ont aussi besoin de temps morts ou de courtes pauses pour se calmer. En prenant de profondes respirations, donnez-vous quelques minutes pour permettre à un niveau de raison de revenir à votre esprit. Vous serez dans un meilleur endroit pour prendre des décisions parentales appropriées.
3. Le cas échéant, laissez les membres de votre famille se tromper. Ce n’est pas votre travail de prouver que quelqu’un a tort ; laissez-les simplement se tromper. Si vous avez un fort désir de leur montrer qu’ils sont incorrects, c’est votre ego qui aboie. Bien sûr, il est de votre responsabilité en tant que parent d’éduquer vos enfants entre le bien et le mal. En fin de compte, cependant, vous ne pouvez pas contrôler les choix qu’ils font et, en fin de compte, ils devront apprendre des conséquences lorsqu’ils commettent des erreurs de jugement.
4. Décidez ce qui est le plus important : être heureux ou avoir raison. Beaucoup d’arguments sont le résultat du désir d’avoir raison. Si vous choisissez d’être heureux plutôt que de gagner toutes les discussions animées avec vos enfants, votre vie sera plus agréable et vous deviendrez un parent plus détendu dans l’ensemble. Qu’est-ce qui est le plus important pour vous ?
5. Prenez une minute pour remarquer votre colère. Au lieu de réagir sans réfléchir à votre frustration, prenez un moment pour l’examiner. Imaginez que vous êtes un tiers témoin de votre irritation et de votre agacement. Qu’est-ce que tu ressens ? D’où vient l’émotion dans votre corps ? Sentez-vous une sensation dans votre tête, votre poitrine ou votre estomac ? Votre respiration a-t-elle changé ? Vos mains tremblent ou serrent les mains ? En vous désengageant de votre colère, vous pouvez acquérir une perspective différente et affaiblir vos émotions négatives.
6. Demandez-vous pourquoi vous êtes contrarié. Quelqu’un vous a-t-il fait du mal physiquement ? Ils t’ont laissé tomber ? Violer une de vos valeurs ? Trouvez pourquoi vous êtes frustré et vous serez en mesure de prendre les mesures nécessaires pour trouver une solution.
7. Concentrez-vous sur l’ensemble du tableau. Imaginez que vous saviez que le monde prendrait fin vendredi prochain. Seriez-vous contrarié si votre enfant n’accrochait pas son sac à dos ? Bien sûr que non.
8. Cherchez des solutions, plutôt que d’essayer de vous sentir mieux. Agir en colère, c’est se sentir mieux. Plutôt que de crier après vos enfants, par exemple, travaillez à trouver une solution pacifique. Le résultat sera bien meilleur et en vaut la peine.
9. Assurez-vous de bien comprendre la situation. Pourquoi se mettre en colère contre vos enfants avant de connaître les faits ? Assurez-vous qu’il ne s’agit pas d’un problème de communication.